Les villages autour de Cromac

La Banne
La Betoule
Boubraud
Le Bouchet
La Bure
Chantouant
La Coulinière
La Crouzette
Les Effes
La Folie
Le Gat
Les Grands Bois
Le Gaulier
Lascroux
Les Lilas
Mérigot
Mondon
Le peu
Les Plaignes
Le Pré-long
Reculais
Les Rivailles
Soulignac
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La Banne.

Exploitation agricole / Chevalier Guy.


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La Betoule.

Débit de boisson : La Boiselle SARL / Mme Ingla Laforêt.


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Boubraud.

Exploitation agricole / Jean-François Benoiton (1991).
Exploitation agricole / Dominique Thaury (1980).


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Le Bouchet.

Exploitation agricole/ François Chauvin (2000).


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La Bure.

Artiste / Philippe Rosemberg (1992).

M. Rosemberg, retraité de la police, était prestidigitateur.



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Chantouant.

Quincaillerie / Marc Pesage (2008).
Épicerie Buvette avec organisation de bals populaires.JT-IMG_00003

Chantouant (“Le Pays haut”) rivalisait avec Cromac (“Le Pays Bas”). Il existait une école de chaque côté et chacun organisait sa propre fête foraine… Actuellement il n’y a plus aucune activité commerciale.



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La Coulinière.

Exploitation agricole “Gaec de La Coulinière” (2003) / Mme Fabienne Savignac (2006).


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La Crouzette.

Exploitation agricole “EARL de La Crouzette” / François Chauvin (2000-2010).
Épicerie- Buvette – Petits bals populaires où les mamans appelées “les belles-mères” accompagnaient leurs filles.


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Les Effes.

Exploitation agricole “EARL des Effes” / Cécilia Rivaud (2008).

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La Folie.

Exploitation agricole “EARL La Folie” / Karl et Stéphanie Firmin (2008).


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Le Gat.

Exploitation agricole / René Poupart (1978-2014).


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Les Grands Bois.

Exploitation agricole “SCEA Les Grands Bois” / Stéphane Genty (1999).


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Le Gaulier.

Nettoyage des bâtiments / Alan Wilson (2004-2011).
Charcutier / M. Lerat (Père de Camille Lerat, l’ancien charcutier de Saint Sulpice les Feuilles).


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Lascroux.

Exploitation agricole / Annick Paintendre (2010).
Charron – Menuiserie / M. Plavinet.

M. Plavinet coupait tout son bois à la main.

Épicerie – Buvette / Mme Berneron.

Mme Berneron faisait ses tournées avec un cheval jusqu’à Jouac.

Alimentation en eau du Château de Lascroux.


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Les Lilas.

Création artistique / Annick Cormier (2010).

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Mérigot.

Exploitation agricole / Jérôme Terrier (2001).
Sarl Nuance d’été, peinture vitrerie / Laurent Marteau (2008).
Exploitation agricole “Gaec Riaud” / Gaétan et Catherine Riaud (1996).
Exploitation agricole “EARL Demay” / Thierry Demay (2000).
Forgeron – Buvette : Pierre Demay (Arrêt vers 1945).
Batteuses / Maxime Laguide (Possédait 3 batteuses) puis son fils Philippe a créé et tenu quelques années une entreprise agricole ( labour, nettoyage des champs, botteler les foins …. )


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Mondon.

• Restauration rapide / Or Leisure (2007-2014) puis Allan Flint ???j . Le nouveau propriétaire du Cochon Fidèle, Paul Rose, y a aussi travaillé.
• Camping du lac.
• Peinture vitrerie / Mickael Walters (2009).
• Menuisier / M. Salet (a officié pendant la guerre).P1140246• Sabotier / Marcel Violet (est allé par la suite à Saint-Sulpice-les-Feuilles, en face de l’ancienne gendarmerie).

Marcel Violet vivait ailleurs avec ses parents mais il avait son atelier dans l’ancienne maison du maître de forge de Mondon, à la Guinguette. Dehors, il y avait un énorme marronnier et Marcel Violet fabriquait ses sabots à cet endroit.

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La Guinguette.

P1140245

Aujourd’hui, Salle d’exposition et d’animation et Bureaux de la Communauté de Communes.

 

Auparavant, il existait une rangée de bâtiments d’une quarantaine de mètres pour loger tous les ouvriers de la forges, ce qui faisait cinq ou six maisons identiques en enfilade. La première était un peu plus grande. Il y avait même une grande salle pour manger, un coin cuisine. le Maître de Forge y habitait, les ouvriers de la forge logeaient dans les autres. Toutes ces maisons appartenaient au Château. Quand la forge a été détruite par une inondation (1868), il n’y avait plus d’ouvriers.

Pour faire fonctionner la forge, on creusait de simples trous dans la construction de la digue afin de faire passer l’eau, selon les besoins. Mais, au fur et à mesure que le système se modernisait, on avait de plus en plus de machines à faire fonctionner et on avait donc de plus en plus besoin d’eau. On creusait alors un autre trou, puis un autre à côté, tous fermés ou ouverts à l’aide d’une trappe individuelle. Il y en a eu ainsi à peu près une dizaine les uns à côtés des autres ! Seulement l’eau, à force, a attaqué le fondement de la digue constituée de pierre, de ciment et de terre. Au cours d’une grosse inondation, tout a lâché et tout le bâtiment de la forge a été emporté.

• Actuellement, ce bâtiment est transformé pour devenir le local de la Communauté de communes Brame-Benaize.

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Le peu.

Charpentier / M. Laurence Purl (2009).
Artisan / Isabelle Lacour (2011).

Les Plaignes.

Nettoyage des bâtiments / M. Graeme Sadd (2010).
Coiffure / Annie Dejoie (1988).

Annie Dejoie habite désormais à Lussac-les-Églises.

Exploitation agricole / Eric Lambert (1999-2013).
Maçon / M. Berthelon (Associé avec M. Delaneau, du bourg).

M. Berthelon avait acheté un camion des surplus américains de 14-18 et s’en servait pour transporter ses matériaux. En 1955, ce camion fonctionnait encore !


Le Pré-long.

Exploitation agricole / Laurence Bourdet (1998).

Reculais.

Exploitation agricole / Fabrice Aubrun (2002).
Peinture Vitrerie / Paul Brooks (2007-2010).
Electricité / Francis Lachaise (2010).
Exploitation agricole / Didier Charlot (2008).
Peintre / Brooks Paul  (2007-2010).
Minoterie / Alexandre (l’aîné) et son frère Albert Thomas. Ont été remplacés par un fils, Claude Thomas.

Les agriculteurs apportaient leur blé au meunier. Celui-ci prenait le son ou en gardait une partie et rendait la farine à l’agriculteur qui ne déboursait rien…
Cette farine était amenée gratuitement chez le boulanger qui, en échange, lui donnait le pain équivalent. Le boulanger faisait tout de même du bénéfice car il ajoutait de l’eau pour faire son pain. Il gardait le pain qui correspondait à la quantité d’eau ajoutée.
En résumé, les agriculteurs ne payaient donc pas leur pain. Ce système dit « d’échange” permettait aux petits agriculteurs locaux de vivre quasiment en “autarcie” pour s’approvisionner en pain. Si les acheteurs n’avaient pas de farine pour l’échange et achetaient leur pain, le boulanger remplissait chaque fois un petit carnet et le paiement s’effectuait à la fin de chaque mois.
Mais les petits moulins ont été remplacés par de grosses entreprises vers les années 1960… Ils ont tous été obligés de fermer.

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Les Rivailles.

Exploitation agricole / Béatrice Barraud (1992).

Soulignac.

Charcuterie “Ovaloy” / Nicolas Ovan ( 2004).
Exploitation agricole / Sylvie aucharles (épouse d’Eric Imbert).