L’AGE-BARDON
Fief appartenant aux Touzeau, clients des La Trémoille ;
En 1462, Pierre Touzeau est notaire à La Trémouille, en même temps que Thomas Touzeau est receveur dud. lieu.
Le 6 nov. 1476,. Pierre Touzeau, bacheclier ès lois, seigneur du Bois, acquiert “ un droit de gorsayge et bois ès gorses du bois des Coustz ” et des maisons au village de Lage-bardon ; il vivait en 1472-1484.
Guillaume Touzeau, écuyer, seigneur de Lage-Bardon, époux de Magdeleine de Saint-Yriers, vend le 29 janv. 1502 (v. s.) à Guillaume Lignaud, moyennant 625 l., le lieu, tenue et héritage de l’Age-Bardon, comprenant maisons franches, coutillages, vergiers, étangs, etc., joignant au grand chemin de Lussac à Verneuil et le grand chemin de Montmorillon. Guillaume avait pour frères Louis et Jean.
Antoine Touzeau, écuyer, seigneur de La Fout, époux de Catherine de La Rye, vivait en 1523-1528.
Appelé L’Age en 1784 ; c’était alors une métairie dépendant de la seigneurie de Lussac.
L’AGE-BERNARD
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LES AGRIERS
11 hab en 1691
1 m, 9 h en 1901
Les Agriers de Bouchiron, qui contenaient 300 s., dépendaient de l’Age-Bernard en 1469.
ARBALIERE
12 m, 36 h.
Ce nom nous offre une permutation de lettre ; on écrivait autrefois Rabalière (On appelle « raballe », en patois, une charrue primitive).
La forme moderne se rencontre depuis 1785.
Le 1er déc. 1383, Jean Calelh, commandeur de l’Espardelière, donne à bail à Jean Chabido, de Valades, paroisse de Bessines, l’héritage de Jean Donsert à Ribaliéra, qui était retourné en friche, et lui fait remise des cens et rentes dus jusqu’à la N.-D. de 1385 ; les héritiers d’Aubert Loubes, damoiseau, donnent également quittance des redevances qu’ils possédaient sur cet héritage.
Le village de Rabalière relève du Paulmet (Terrier de 1519)
La forge de Rabalière est mentionnée en 1469.
LA BERGERIE
1 m, 6 h
Le moulin seul est de la commune de Lussac ; le surplus du village, qui se trouve sur la rive droite de La Benaize, dépend de Coulonges. Le tout était compris dans la châtellenie de Lussac.
La Bergerye, 1543
La Pilaudière, alias La Bergerie, 1668.
Le moulin fut emporté par la grande inondation de juil. 1792.
Le 26 juin 1689, Pierre de La Gelie, écuyer, seigneur de La Coste, vend le lieu de La Bergerie à Léonard Rougier, notaire
Le baron Rougier de La Bergerie a été mentionné plus haut.
LA BORDERIE
2 m, 14 h
Nom moderne du château de l’Age-Bernard.
LES BOUIGES
55 habitants en 1691
37 m, 126 hab
LA BOURDAILLE
1 m, 7 h
BOURDELLE
65 h en 1691,
10 m, 48 hab
Compris dans la châtellenie du Fief qui avait la moitié de la dîme.
Bourdelles, 1412
Bordelles, 1440,
CHAMPERON
1 m, 10 h
Fief noble relevant de Lussac à foi et hommage lige au serment de fidélité, au devoir d’une paire de gants de 20 deniers, et comprenant, d’après l’aveu du 23 novembre 1598, “une maison noble haulte, basse-cour, écuries, colombier à norrir pigeons, vignes, étangs et pescherie et une métairie”.
Possédé en 1527 par Jean de Montbel, capitaine de Fleix, qui, en 1530, faisait un accord au sujet de son banc dans l’église de Lussac. En septembre 1536, celui-ci était, à l’armée, au camp du pays de Provence, en qualité d’homme d’arme des ordonnances du roi, compagnie de Monsieur de Poinctièvre.
Son fils, Guillaume, fut seigneur de Champéron et épousa Gillone Pot, d’où entre autres enfants Robert, qui fut attributaire de ce fief et prit une part active aux guerres de la fin du XVIe siècle.
En 1593, faisant partie de la suite du baron de La Chastre et se trouvant à Tours, il obtint du prince de Conti un passeport, lui sixiesme, chevaux et armes. Une pièce de la même année nous montre le maréchal de La Chastre l’envoyant le 30 septembre en mission à Orléans vers le duc de Mayenne. Deux ans après, il est sergent-major de la ville de Rouen et le 22 mars le roi le gratifie d’une pension de 800 écus pour l’engager à lui continuer la fidélité de ses services; le 12 avril 1596, il lui donna un passeport pour se rendre à Calais.
Le 31 octobre suivant, Robert de Montbel, étant alors gentilhomme de la chambre du roi et l’un des 20 gentilshommes de la suite de S.M., lieutenant du duc de Vendôme, fils naturel du roi, au gouvernement de Seurre, épouse Anne de l’Age, sœur du fameux duc de Puylaurent.
En 1599, il touchait 33 cens par mois comme gouverneur de cette ville de Seurre, située en Bourgogne. Le 1er décembre 1608, le roi le créa chevalier de Saint-Michel et en 1629 lui donna une pension de 2000 l.
Une enquête de 1631 porte “qu’il avoit esté des braves de son temps et aimé du feu roy et que c’estoit un homme aussi recommandable par sa naissance que par son mérite”.
Son fils, René de Montbel, seigneur de Champéron et d’Yzeure, vendit, le 27 mai 1632, le lieu, maison et fief noble de Champéron à Christophe de Bersac, moyennant 3150 livres. Le seigneur de Lussac, ayant voulu exercer le retrait féodal, dut attaquer l’acquéreur en justice; un jugement du 23 janvier 1651 lui donna gain de cause et condamna Laurent de Bersac, écuyer, seigneur de Champéron, gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, fils et héritier de Christophe, à délaisser Champéron, qui resta jusqu’à la Révolution en possession des Lignaud. (P. M.).
Malgré la vente ci-dessus, une branche des de Montbel, issus de René, continua à porter le nom de Champéron.
LES CLOTURES
125 hab en 1691
17 m., 62 h.
En 1412, Les Cloudures dépendent du Fief qui lève la dîme.
Le fief de LA COSTE ou Gatemont consistait en une rente au Mont relevant de Lussac à foi et hommage lige au devoir d’une paire d’éperons à nuance de seigneur et d’homme, suivant dénombrement rendu le 7 mai 1597 par Jean Mérigot, sénéchal; tenu en 1787 par Jean-Joseph Pentecousteau.
LA COUFAUDIERE
29 h. en 1691
7 m, 26 h.
En 1412, La Foucaudière est comprise dans le Fief qui percevait la dîme avec Hérut.
Au XVIIe siècle par une sorte d’interversion assez fréquente dans le langage populaire, ce nom est devenu La Coufaudière;
un acte de 1669 porte les deux formes, la dernière a prévalu au siècle suivant.
LE COURET
22 hab en 1691
1 m, 10 h
Louis Berneron, seigneur du Couret, 1668 ; Léonard Gaillard, seigneur du Couret, 1758-1767.
D’après la déclaration du 8 janvier 1468 (v. s.), les habitants du Corret doivent à Hérut 15 quartes d’avoine, plus une geline par feu pour la dîme des rabes; toutes les autres dîmes du village appartiennent à la commanderie. (M. D., 391)
LE CROS
15 hab en 1691
18 m, 37 h
Le Crox, 1475,
Le Croc, 1691.
L’EXPARDELIERE
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LE FIEF
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LA FONT
Fief relevant du Fief Lussazois, suivant aveu rendu le 18 avril 1523 par Antoine Touzeau, seigneur de La Font, époux de Catherine de La Rye ; il est tenu “à foi et hommage lige au devoir d’une père de gans à l’estimation d’un grant blanc” ; il comprend un chazeau joignant le chemin de Bourdelle à Lussac. Louis Touzeau, seigneur de La Font, 1545 ; Anne Touzeau, 1598. Il fut acquis le 1er juin 1615 par le seigneur de Lussac.
Marie-Esther Lignaud, épouse de François de Gain, seigneur d’Anville, vend à Robert Lignaud, le 9 sept. 1690, la maison noble de La Font avec une tour par devant, acquise par décret sur Martial Naude, seigneur du Fretet.
Le 8 oct. 1760, J.-B. Gigaud, seigneur de La Caure, notaire, cède au marquis de Lussac le lieu et métairie de La Font, chemin de Lussac à Saint-Léger, à main droite, moyennant 5000 l.
C’était à La Font qu’au XVIIIe siècle se rendait la justice de la commanderie d’Herut.
LES FRETILLES
1 m, 10 h
Contraction de Forestilles.
Le 21 déc. 1445, le seigneur du Fief donne à mestayerie à Jean des Cloutures, dit de La Court, les coux des Fouresthiles assises entre le boys de l’église du Puy-Saint-Jean et le boys Vigier de M. de Maignac, le ruisseau qui vient de l’étang du Pinateau, le boys des Ricoulx et le boys de Tersannes : à charge d’y construire “ ung eschauffetour* bon et compétent dedans deux ans et une grange quand il pourra et y tiendra feu et lieu ”.
* Habitation chauffée.
Il donnera au seigneur le tiers du froment, du seigle et de l’avoine, la moitié du bétail et il gardera la totalité des autres menus grains. Il sera garanti de tous fouages, guet et garde, comme font les autres nobles avec leurs métayers, et il devra tenir 4 bœufs dans la métairie.
Cette métairie est mentionnée depuis dans tous les aveux du Fief, comme dépendant de cette seigneurie.
François Aubugeois, seigneur des Forestilles, 1673.
Une tuilerie y est indiquée en 1774.
GELIF
29 h. en 1691
6m, 22h
Geluffes. 1519
Gelluffes, 1636;
Geluffe, 1691
Geliffie, 1741.
LES GALLECTS
village près de Roussines.
Les Gallects. 1655 ;
Les Gallais, 1779.
LA GRIMINIERE
45 hab en 1691
5h. 20h.
La. Greminière, 1119.
LA JALLEBOSSE
38 hab en 1691
Le 2 avril 1405, Jehan Lignaud, damoiseau, déclare tenir à hommage lige à cause de Catherine, sa femme, de Charles, seigneur de Lebret (Albret) ayant le baildes enfants de M. de La Tremoille, “la desme à blé appelé la desme de Lage Alabousse , qui peut valoir chacun an 12 boisseaux de blés ; ung chézeau contenant. 3 boisselées de terre assis joute le rys de Douailh, soubs la maison Fradonne”.
On trouve d’autres aveux rendus pour cette dîme par les Lignaud ; elle est appelée La Jallebosse dès 1466.
Chaque feu de ce village devait à Hérut une poule par feu et une autre poule pour la dîme des rabbes. (Déclaration du 28 fév. 1458).
LE LATIER
45 h en 1691
16 m, 49 h.
En 1669, un étang est signalé comme tenant à ce village et à celui des Landes.
Jean Chavignat, seigneur du Latier, 1698-1731.
LE LATTIER LUSSAZOIS
Etait le nom, en 1677, de la maison transformée plus tard en hospice.
LAVAUD
51 hab en 1691
22 m, 6o h
LESSARD
1 m, 6 h
La métairie de Lessard aux Bourdelles fut donnée en 1677 par François de Bourdelles à l’hospice qu’il désirait fonder; elle était affermée 70 l. en 1748. Elle appartient encore en 1905 à cet établissement qui la loue 1435 F.
LA LOMBERTYERE
Lieu habité en 1643.
LA MALADRERIE.
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LES MARNES
Maison située à la Font, au bourg de Lussac et relevant d’Hérut
vendue le 27 oct. 1619 par Jean Provost, avocat au Dorat, et ses frères à Léonard Luquet.
Gaspard Luquet, seigneur des Marnes, 1667-1687.
LA MAISON-NEUVE
5 m, 16 h
La Maison-Neuve dessus la Trigalle est mentionnée en 1683.
LE MONT
127 hab en 1691
30 m, 110 h en 1901
Mons, 1413 (voir le Fief)
La moitié de la dîme appartient au Fief, l’autre moitié à Lussac.
Pierre Berneron, seigneur du Mont, 1633-1686.
MONTCOUDIOUX
42 h. en 1691
8 m, 25 h, 1901
Ce nom a subi de nombreuses métamorphoses. Les habitants de Montquognioux doivent des rentes à Fleix en 1437.
En 1484 la moitié de la dîme de Montquognyou est perçue par Jean de Herenc et le surplus par le seigneur de Lussac.
Monquegniouz, 1691.
Jean Mazeroux, seigneur de Monquedioux, 1686.
MOULIN DE L’AGE-BERNARD
Cité en 1665, entre le pont et le moulin du Fief
En 1784, il est à 2 roues à froment et à seigle et a droit d’astreinte sur le bourg, le Piquet, Lessard, Champéron, le Plan et l’Age.
Il dépend de la seigneurie.
MOULIN A PARAIRE
Tant à blé qu’à drap sur la Benaize, 1543.
En 1636, il est appelé Moulin Auparaire ou de Brunet, puis en 1784 Moulin de Paulmet
Il a droit sur le Paulmet, Gelufe, la Saille et Montbon.
MOULIN DES BOUIGES
Le 23 déc. 1474 Georges de Trémoille, seigneur de Lussac, baille à Guillaume des Bouyges, le droit de recueillir l’eau de la rivière appelée Lasse et en icelle faire chaussée qui ne puisse préjudicier à ses moulins dud. Lussac situés près le village du Plant et le pont du Plant et icelle faire venir à ung sien moulin par luy naguère construict près le village de la Jalleboce, moyennant une rente de 4 boisseaux froment, 12 boisseaux seigle et une poule. Il n’aura aucune chasse* de mosnans au préjudice de sesd. moulins.
* “ Chasser, se dit des meuniers qui n’ont pas un moulin banal et qui vont chercher deçà et delà leurs mounées ”. Dict. de Trévoux.
Il est appelé en 1543 le moulin des Rivailles et appartient à Jean des Bouiges, clerc ; c’est sans doute le même que le suivant.
MOULIN DU GOULET
1 m, 4h
“ moulin rebasty de nouveau appelé le moulin vieux des Bouiges autrement du Goulet, 1636.
Le moulin des Bouiges autrement des Goullests, 1671.
Le moulin du Goulet, près la Jalleboce et les Rivailles, a droit sur les Forestilles, les Clotures et le Lattier (1784).
MOULIN DE LAVAU
L’écluse et cours d’eau du moulin de la Vault, joignant au chemin de Lussac à Tilly, appartient en 1636à Gabrielle de Malesset, dame d’Hosmes.
MOULIN DU MEILHAUD
1 m, 4 h
Est à une roue en 1784 et dépend de la seigneurie de Lussac.
Il a droit de moulange sur les Bouiges, Roussines, les Gallets, le Courret, la Coufaudière et le Vauzelle, 1646.
LE MOULIN NEUF
Au Mont, dépend en 1677 de la seigneurie de Lussac.
MOULIN DU PILAUDON
Anciennement appelé le moulin des Gorces, 1753
Une roue à blé en 1786.
Inhabité.
MOULIN DU PLAN
C’était un des deux moulins banaux de la seigneurie de Lussac dès 1491.
Une assemblée d’habitants du 10 août 1755 a constaté qu’il avait été détruit par une inondation trois ans auparavant
Il n’était pas reconstruit en 1784.
MOULIN RODET
Le moulin de Rabuliêre appelé le Rodet, 1500, n’existait plus en 1523 ; mais avait été reconstruit en 1606, puis démoli en 1636.
MOULIN AU TAN
Le moulin aux Grands Boulets appelé à présent moulin au Tan, 1543, entre Laigebaulde et le Gué de Bourdelles existait encore en 1637.
LE MOULIN VALLENTIN
Sur le ruisseau qui descend du Cros à la Benaize.
En masure en 1636.
LE PLAN
28 h, 1691
1m., 12 h.
Le 26 nov. 1406 Jeannot de Saint-… reconnaît tenir de Charles, seigneur de Lebret (Albret), connétable de France, ayant le bail des enfants du seigneur de la Trémoille, des terres au territoire du Plans.
La dîme appartenait à Hérut.
LES QUERRES
lieu habité en 1523-1543
Situé sur le chemin de Lussac à Saint-Martin et sur celui de l’étang de Forges à la Mazère
N’existait plus dès 1636.
LA RIVAILLE
10 h en 1691
5 m, 15 hab en 1901
Le lieu de la Rivaille est aliéné le 27 sept. 1716 par le marquis de Lussac à Joseph Berneron, seigneur du Bouchais
Jacques-Martin Aubugeois, maire du Dorat, le revendit en 1779 au seigneur de Lussac.
ROUSSINES
1691 : 39 h. avec les Gallets
19 m, 66 h
Rossinez, 1406.
Le 16 juil. 1460, Louis de la Trémoille, seigneur de Lussac confirme le bail fait par son père à Perrot, Vincent et Jean de Roucines, de sa métairie de Roucines, au tiers des fruits prisés par quatre preud’hommes, plus 5 s. pour droit de charnage, 1 s. seigle pour droit. de dîme et 100 s. de cens.
Le précompte de 1484 signale que les métayers de Roussines ont planté, sans la permission du seigneur, 3 ou 4 pièces de vigne contenant de 11 à 15 journées d’hommes.
D’après laveu de 1615 le seigneur possède à Roussines deux métairies valant de 45 à 5o set. de seigle.
LA SAILLE
8 h, 1691
1 m, 8 hab en 1901
Domaine inféodé le 26 fév. 1575 par le seigneur de Lussac à Jean Mérigot, son sénéchal, à foi et hommage au devoir d’une paire d’éperons valant 15 d. à mutation de seigneur et de vassal
La Salhe, 1580
D’après le dénombrement rendu le 28 dec. 1787 par Jean-Charles Pentecousteau, il comprend un petit château avec préclôtures ; plus “près du château les vestiges d’un ancien colombier à pied et d’un ancien oratoire ou chapelle domestique.”
LA TRIGALLE
41 m. 1691
15m, 64 h.
Localité comprise dans la seigneurie du Fief, mais qui ne figure dans ses terriers que depuis 1637 ; peut-être auparavant était-elle considérée comme une dépendance de la Maladrerie ; elle est mentionnée en 1615. Les registres d’état civil mentionnant en oct. 1680 le décès de Pierre Renty, tuilier catholique, tué à la Trigalle.
Le 4 déc. 1706, sur transaction entre le prieur de Lussac et le seigneur du Fief, le droit de mosnage sur les habitants de la Trigalle reste à celui-ci.
Au XVIIIe siècle, deux notaires habitaient La Trigalle.
LA VILATTE
138 h en 1691
26 m, 77 h
La Vilatte en 1412
la dîme était payée au Fief.
LA VAUZELLE
98 h, 1691
14 m, 53 h.
La Vauzelle, 1412,
Dépendait du Fief, mais Hérut percevait une poule par feu pour la dîme des rabbes et les 2/3 de la dîme de tous blés et charnages, suivant déclaration du 20 avril 1459 ;(M.D. 391).
M. Maublant, maire de Lussac, y a fait construire en 1883 un château sur les plans de M. Rocques, architecte à Angers, qui a restauré le Riz-Chauveron et le Bourg Archambault.