Récit écrit par des élèves
Il était une fois un petit village paisible qui avait pour nom Lavaupot. Les habitants étaient pour une grande partie d’entre eux des agriculteurs.
Ils étaient peu nombreux, la joie régnait dans ce petit village tranquille
Un petit garçon, Alexandre, vivait dans une des maisons du hameau. « Alex », comme le surnommaient ses camarades de classe n’avait que douze ans.
Il eut l’impression, une nuit, d’entendre une voix qui lui disait :
– Alex, veux-tu que la Terre soit polluée par des extraterrestres venus d’on ne sait où ?
– Non, non bien sûr que non !
– Alors, il te faudra surmonter des épreuves qui te permettront de déjouer les complots des envahisseurs…
– D’accord !
Sa mère qui l’avait entendu parler, ouvrit soudain la porte et demanda:
– Est-ce que ça va?
– Oui, bien sûr, maman, pourquoi ?
– j’ai cru t’entendre causer avec quelqu’un !
– Non maman.
– Ah bon, je croyais.
La mère d’Alexandre partit se coucher.
Le lendemain un énorme bruit résonna dans l’oreille d’Alex. Il sortit pour voir ce qu’il se passait. Il aperçut une soucoupe volante. Et il se rappela soudain la voix de la veille. Il voulut s’approcher pour voir cela de plus près. Alors, il se dit en lui-même qu’il fallait ramper sur l’herbe pour ne pas se faire remarquer. Alex s’approcha tout doucement.
Les extraterrestres ressemblaient à des cyclopes car ils n’avaient qu’un œil chacun. Ils étaient très nombreux et affreux. Mais l’enfant prit son courage à deux mains pour remarquer plus de détails. Alex se rendit compte que ces extraterrestres étaient de la planète Vénus car il était inscrit sur la soucoupe “Vénus”.
Ces êtres n’étaient pas venus pour faire une visite de courtoisie, car ils commencèrent à décharger des sacs qui n’avaient pas l’air d’être des cadeaux. Mais Alex voulut en avoir le cœur net. Il rampa en direction des sacs. Puisque les Vénusiens rentraient dans leur soucoupe, il avait le champ libre. Il se releva et courut à en perdre haleine. Puis il arriva enfin aux sacs. Il voulut en extraire les objets. Mais les sacs étaient bien fermés. Il se rappela que son canif était dans sa poche de pantalon. Mais la nuit tombait vite et sa mère l’appelait :
– Alexandre, viens manger !
– Maman, il y a des extraterrestres.
– Arrête de dire des sottises et viens manger.
– Je t’assure maman !
– Viens manger immédiatement !
– D’accord !
Il se dit qu’il y retournerait le lendemain.
Il mangea et alla se coucher. Pendant la nuit, il sortit par la fenêtre. La soucoupe était illuminée. Il n’eut pas de mal à s’en approcher. Un des Vénusiens sortit monter la garde. Alex lança une pierre qui était à ses pieds. Le gros caillou atterrit loin de l’extraterrestre. L’individu alla voir ce qu’il se passait. Alex, avec le bâton qu’il avait ramassé par terre courut sans bruit derrière le Vénusien et l’assomma. Il le dévêtit, prit sa combinaison, ses bottes et il les enfila. Il frappa à la porte de la soucoupe et le chef de la bande lui ouvrit.
– Qquu’yy-aa-tt-iill ?
Alex prit la voix du chef
– Jj’’aaii vvuu uunn ppeettiitt eennffaannt
Alors les Vénusiens qui étaient au nombre de vingt sortirent voir. Quand ils furent tous dehors, Alex les assomma un à un avec son lance-pierres.
Une fois les Vénusiens assommés, Il leur creva leur unique œil, sauf à l’un d’entre eux.
Alexandre les lia avec des cordes. Quand les Vénusiens reprirent connaissance, un seul avait encore la vue. Alors le jeune terrien le menaça de lui percer l’œil s’il ne ramenait pas les sacs sur la planète Vénus.
– Au fait ,dit Alex, que contiennent ces sacs ? Des déchets ménagers, des déchets nucléaires… ?
Alors, l’extraterrestre répondit :
– Lleess ssaaccss ccoonnttiieenneennt ddeess ddéécchheettss mméénnaaggeerrss ! !
– Il faut les ramener sur votre planète.
– Dd’’aaccoorrdd ! !
Les Vénusiens repartirent sur leur planète.
Alex et sa famille n’eurent plus jamais d’ennuis jusqu’à la fin de leur vie.
Tandis que les Vénusiens moururent quelques années plus tard.
Raphaël Barbarin
Denis Mayaud
Sébastien Prot
Muriel Laurent
Patrick Var
Raphaël Barbarin
Denis Mayaud
Sébastien Prot
Muriel Laurent
Patrick Var