Activité économique

Commerces
Maçonnerie-Bâtiment
Entreprises diverses
Électricité
Menuiserie – Charpente – Ébénisterie
Plomberie – Couverture – Chauffage
Mécaniciens – Tôliers – Charrons
Coiffeurs
Santé – Sécurité
Carrières médicales et paramédicales

Commerces

M. Pierre André Marsaud a fondé une maison avec vente de vins, à la fin du 19e siècle. Son arrière petit-fils, M. Alex Aufaure continue l’activité en travaillant avec la COFUPAL puis avec la COPAR

M. Barboux André a pris le fond de boulangerie-pâtisserie derrière Mme Veuve Raynaud le 1er mai 1958. Il fait un peu de viennoiserie et continue les tournées dans les villages.
Il travaille avec deux employés.
Vers 1900, la boulangerie portait l’enseigne « Boulangerie Parisienne » tenue par la famille Joisson, puis par M. Raynaud jusqu’à son décès. En 100 ans, seulement 3 boulangers se sont succédé.

M. Baranger Florent est inséminateur. Il travaille avec la coopérative de Verneuil sur Vienne créée en 1957. M. Baranger est embauché depuis 1959 et exerce dans la région depuis la même époque. Au début, il employait la semence fraîche pour une durée de 48 heures. Maintenant grâce à la congélation sous azote la semence peut être gardée jusqu’à plus de 10 ans ce qui permet de suivre les taureaux et d’utiliser la valeur génétique de ceux-ci beaucoup plus longtemps et d’être directement en contact avec l’évolution.
Au début, vers 1958, le travail se faisait surtout avec les petites fermes.
Avec l’I.V.D. (Indemnité Viagère de départ) beaucoup de petits propriétaires âgés ont pris leur retraite ce qui a favorisé l’élevage en plein air. On fit moins appel à l’inséminateur surtout pour les races à viande comme la Limousine.
Sur le cheptel laitier (la hollandaise) l’insémination se poursuit avec des performances plus marquées sur la production laitière.
Sur les races à viande certains propriétaires sont intéressés par les groupements de chaleur qui permettent des vêlages à date prévue.

Mme Boussardon Jacqueline a repris le tabac en 1971 à la suite de M. Raynaud (1958 à 1971).
Du 1er décembre 1971 au ler janvier 1974 il y avait aussi une recette auxiliaire des impôts.
En plus du tabac, Mme Boussardon vend des articles pour les fumeurs des cartes postales, des graines, des pellicules et tient un dépôt de photos.

M. Chaput René a succédé à M. Menusier en 1976. Il fait de la charcuterie à vocation maison avec des spécialités de grattons, andouilles de pays et quelques plats cuisinés avec l’aide d’un employé.

Mme Colombier Jeanine tient un hôtel-restaurant-bar. C’est une tradition familiale depuis son arrière-grand-mère Mme Lescaroux, sa grand-mère Mme Lemoine, et sa mère Mme Letang.

M. Commun, gérant D.O.C.
Depuis des générations, la famille Leroy est propriétaire des Locaux. C’est donc en 1930 que Mme Leroy les loue à l’Alimentation du Centre. C’est elle-même qui tient la succursale jusqu’en 1935. De 1935 à 1940, l’Alimentation du Centre devient Docks du Centre et est tenue par Mme Mangon comme gérante. Puis en 1940, et jusqu’en 1949 M. et Mme Mazeau tiennent la gérance. En 1949, les Docks du Centre deviennent Docks de France et M. et Mme Bellet sont gérants jusqu’en 1961 date à laquelle M. et Mme Commun leur succèdent. M. Commun effectuera des tournées de 1962 à 1975.
Les commandes d’épicerie et de liquide sont effectuées depuis 1985 par ordinateur.

M. Dionnet Robert a d’abord tenu un magasin de chaussures aux Grands-Chézeaux de 1947 à 1956. En 1956, il s’installe à Saint-Sulpice et en 1961, il ouvre un hôtel, café, restaurant.

M. Duban Christian a pris la suite de M. Périchet le 1er avril 1976. Il vend du mouton, du bœuf, du veau, du porc, de la charcuterie et il a élargi avec une boucherie chevaline. Depuis 1978, il effectue des tournées sur les cantons de Saint-Sulpice-les-Feuilles, le Dorat et Bessines.

Maison Dubrac
La maison a été créée en 1913, puis reprise par M. Roger Dubrac en 1937 au décès de son père. En 1974, la Maison Dubrac forme une société avec le fils Pierre qui a fait des études au lycée de Roman pour la création, la fabrication et la commercialisation des chaussures. La maison travaille avec 5 employés et utilise un camion pour les marchés.

M. Dumy André tient avec 6 employés un magasin à vocation multiple fort nécessaire dans nos communes rurales. Il offre un choix important en quincaillerie et ses dérivés, pour l’outillage agricole, les appareils de chauffage, l’électricité, l’électroménager, la vaisselle mais aussi les munitions, la droguerie, le charbon, les matériaux de construction et le fer, le bois, le gaz.
Pour M. Dumy, la clientèle vient surtout des actifs des secteurs primaire et secondaire. Peu de personnes du secteur tertiaire s’approvisionnent au magasin.
Les retraités et les non-résidents qui ont acquis des locaux à Saint-Sulpice ou dans les communes voisines participent pleinement au maintien du magasin par des achats fréquents et réguliers. La plus grande période d’activité du magasin se situe pendant les trois mois d’été alors que dans d’autres cantons ce type de magasin souffre de cette période. Nous pouvons donc dire que la population locale a un rôle à jouer face au commerce local si elle veut le maintenir, et à Saint-Sulpice plus qu’ailleurs les vacanciers sont des futurs habitants du canton pour une grande part.

Mme Faucher tient un café à Boismandé.

M. Gorgeon a succédé à M. Picard en 1959 comme boucher charcutier. A son décès en 1971, Mme Gorgeon a repris l’activité à son nom.
C’était l’ancienne boucherie Lavaud.

« Haute-Vienne Carrelages » créé en 1972 par M. Laboureau, est spécialisé dans la vente des marchandises suivantes :
la pierre de Saint-Yrieix et du Lot mais aussi la filière granit du Limousin.
Un choix de carrelages, moquettes et revêtements de sol.
La peinture et les papiers peints
Des éléments de sanitaire et la robinetterie
Des cuisines complètes sur mesure
Des accessoires de salle de bains
Des salons de jardin en pierre.
Actuellement, M. Laboureau travaille avec l’aide de trois employés.

M. Hélias a repris en 1984 derrière M. Lardy, le fond de boulangerie qui avait été auparavant exploité par M. Lamant.

Les Établissements Maillochon sont spécialisés dans la vente de vêtements pour enfants, femmes et hommes, en magasin, dans les foires et marchés de la région, mais aussi à domicile au cours de circuits réguliers. L’entreprise actuelle est la continuité et l’élargissement d’un magasin fondé en 1840.
Aujourd’hui, la société emploie 20 personnes dont cinq à temps partiel. Tous les employés sauf un, habitent le canton. Les ventes se répartissent comme suit par rapport au chiffre d’affaires : 41,3 % en magasins ; 23,5 % en tournées ; 35 % sur les foires et marchés, enfin les ventes effectuées aux collectivités. Par rapport à l’ensemble le magasin de Saint-Sulpice-les-Feuilles représente 23,5 % du total du chiffre de l’entreprise.
En raison de la dépopulation sur le plan régional, il faut s’écarter de plus en plus. En 1970, la maison Maillochon travaillait dans un rayon de 40 km par rapport à la maison mère de Saint-Sulpice. En 1985, la plupart des foires du canton, non rentables, ont été peu à peu abandonnées. La vente se fait de plus en plus loin couvrant une superficie d’un rayon de 100 km.

Mme Joly Michèle a repris en 1971 la mercerie de M. et Mme Charrier.
En 1978, elle a ouvert un commerce de fleurs coupées, présentations florales, mariages, deuils.

M. Larraud Michel a acheté un fond de commerce débit de boisson à Boismandé en juillet 1973. L’entreprise de charcuterie est créée en juillet 1976 parallèlement à un restaurant. Création du premier emploi en 1978 avec la même année transformation et agrandissement du local commercial.
1979 voit la construction d’un garage et d’une réserve à marchandise. En 1983, on construit un séchoir.
M. Larraud Michel s’occupe de la transformation des viandes de porc en charcuterie : jambons secs et blancs, pâtés, saucissons, et décide en 1984 l’étude et la création de fabrication de conserves artisanales.
Les ventes de charcuterie se font à domicile, dites « ventes à la Chine » ou laisser sur place. Le commerce se fait dans un rayon de 10 km autour de Boismandé.
Les tournées en Creuse, Haute-Vienne et Indre sont plus importantes. De nouvelles tournées sont prévues fin 1985 début 1986.
Actuellement, le personnel se compose comme suit :
Un employé ayant 53 ans et 5 ans d’ancienneté dans l’entreprise
Un employé saisonnier pour l’été 1985 (2 mois)
Un employé prévu pour 1986
Un apprenti en 1985 (2 ans de contrat)
Un apprenti prévu pour 1986 (2 ans de contrat).

La Maison Marzet a été fondée en 1883 par l’arrière-grand-père du propriétaire actuel. Avec cinq employés M. Marzet est spécialisé dans la livraison des vins, des produits de brasserie et du fuel.

La Maison Peyrot a repris le commerce d’horlogerie-bijouterie en 1891 au moment du mariage de M. Peyrot Pierre avec Mlle Marie-Adrienne Joyeux. En 1930, leur fils, Marcel reprend le commerce à son nom jusqu’à son décès en 1978. A partir de cette date, Mme Blanche Peyrot, sa veuve, assure la continuité.

M. Piolet Bernard a pris la suite de M. Riffaud le 1er mars 1982 comme boulanger. Il fait aussi de la viennoiserie et continue les tournées dans les hameaux.

Mme Prince a repris le 1er janvier 1983 le bar-P.M.U. tenu par M. Mahieu qui avait remplacé M. Morel. Le P.M.U. existe depuis 1973.

Mlle Robineau Angéline a ouvert son magasin le ter avril 1977 lançant un défi à la population locale.
Dès l’ouverture, le magasin offrait plusieurs rayons : papeterie, disques, cassettes, jouets et librairie. Par la suite, Mlle Robineau s’est adaptée aux besoins de la clientèle créant un dépôt de photos, de pressing et un rayon cadeaux.
En 1984, c’est la reprise du dépôt de presse tenu par Mme Marie Machinaud depuis 1910.
Actuellement, les ventes se répartissent comme suit par rapport au chiffre d’affaire : papeterie 30 % ; librairie 15 %; presse 20 % ; jouets et disques 20 % ; cadeaux 10 % ; divers 5 %.

M. Ruault Albert tient le fond de pâtisserie épicerie depuis 1957 à la suite de M. Massy. Il a toujours la licence IV.

Le magasin Timy a été créé en 1977. Ce libre-service offre du travail à 10 personnes à temps complet avec comme gérant M. Prieur.

M. et Mme Tournebise ont succédé en 1954 à M. et Mme Lepère qui avaient créé le commerce vers 1921. Au décès de son mari, Mme Tournebise poursuit seule le commerce : droguerie, ménage, jouets, papeterie, cadeaux, funéraires.

M. Van de Sande a repris la charcuterie tenue auparavant par M. Lerat le 15 septembre 1984. Il a élargi le commerce avec la boucherie et des plats cuisinés. Il emploie deux apprentis et continue les tournées.

Maçonnerie-Bâtiment

M. Autissier s’est installé à son compte en mars 1978 en maçonnerie générale pour tous les travaux courants et les puits.

L’entreprise Jouanny-Laboureix
MM. Laboureix et Jouanny ont travaillé chez M. Pailler (entreprise de travaux publics). C’est à la retraite de M. Pailler que MM. Laboureix et Jouanny ont pris la suite avec tous les ouvriers de l’entreprise (5). Ils se sont associés et ont créé l’entreprise Jouanny Laboureix le let février 1968 sous forme de S.D.F. (Société de Fait). Ils ont actuellement cinq ouvriers.
Ils construisent des maisons individuelles, font la rénovation des vieux bâtiments, la plâtrerie et le carrelage.
Depuis quelques années ils ont créé un groupement d’artisans (de St Sulpice) ce qui leur permet de livrer des pavillons clé en mains et cela sous la conduite d’un maître d’œuvre.
Ils travaillent dans le canton, très peu dans les départements de la Creuse et de l’Indre.

Depuis 31 ans, l’entreprise de maçonnerie et gros œuvre de M. Rigaud est installée à Boismandé. Actuellement le fondateur travaille avec l’aide de ses deux fils.

Entreprises diverses

M. Bouyat de Lavaupot et son employé font tourner le seul moulin subsistant sur notre commune. Les ventes se font surtout sur le plan local. D’autre part le moulin a bénéficié de sa bonne localisation à proximité du chef-lieu communal. Le travail est modernisé. L’hiver le moulin fonctionne avec l’eau fournie par la Chaume ; l’été c’est un moteur-électrique relié à un transformateur qui fournit l’énergie nécessaire. Le moulin de Lavaupot a gardé les vieilles coutumes de contact avec la population locale. Des services sont rendus aux agriculteurs avec les sous produits du moulin. Ces petites unités minotières jouent un rôle sur le plan local et sont fort appréciées.

M. Lelièvre a d’abord été associé avec M. Pérard comme marchand de bestiaux. Depuis 1970 il est à son compte. Le travail d’achat et de vente des bovins a lieu en France et à l’étranger. Les veaux d’Italie, les génisses suitées, les génisses de 18 mois, constituent une grande part de l’offre et de la demande vers l’Italie.
Afin d’assurer de telles transactions M. Lelièvre emploie un camionneur et un ouvrier à temps partiel. L’entretien de la ferme est confié à un employé agricole.

M. Mazeau Bernard est installé artisan peintre en bâtiments depuis l’année 1976. Il peut effectuer des travaux de peinture intérieurs et extérieurs, la pose de papiers peints, de papiers vinyls, la pose de revêtements muraux et de sols, les moquettes et gerflex. Il adapte aussi la vitrerie.

M. Mulot José a créé une entreprise de travaux publics depuis septembre 1979. Actuellement il emploie 12 personnes à temps complet. Depuis novembre 1984 il a repris la carrière de Saint Martin le Mault (anciennement Bardeau).

M. Penot Roger a continué les transports en camions, en développant et modernisant l’entreprise familiale. Actuellement il emploie deux chauffeurs. Depuis 1960 il vend, livre et installe des matériaux préfabriqués « L’Inusable ».

 M. Sauriat père avait exercé de 1936 à 1970 s’installant d’abord à Arnac puis à St Sulpice. Pendant quatre ans son fils fera la navette entre Versailles et St Sulpice où il réside depuis 1974. Il dirige l’entreprise de peinture, papiers peints, revêtements de sol avec un ouvrier

.M. Sauriat a repris l’affaire de son père, au décès de celui-ci, en septembre 1970.

La F.A.M.A. (Fabrication Artisanale de Maroquinerie d’Art).
L’ancien maire de St Sulpice, M. Maxime Letourneur, prend contact avec M. Vogel et lui propose un terrain où installer sa fabrique. L’affaire est acquise…
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Électricité

M. Chaput Daniel travaille en électricité, plomberie, chauffage depuis le 1er juillet 1970.

M. Mangon Pierre fait de l’électricité générale et de l’électroménager depuis novembre 1962.

Menuiserie – Charpente – Ébénisterie

M. Boiron Roger a ouvert un atelier de menuiserie, charpente, ébénisterie, isolation à la Peurusse.

M. Dubois Joël installé depuis le ler mars 1980 emploie un ouvrier à la charpente, la couverture et la menuiserie.

M. Guyou Jean-François est à son compte au Monteil depuis juillet 1983 pour la menuiserie en tout genre, un peu d’ébénisterie, la restauration des meubles anciens et les escaliers.

M. Mignon Roland installé depuis le 1er avril 1980 exécute toute la menuiserie, même la restauration de meubles anciens, l’agencement des cuisines, le mobilier de salle à manger, les portes-fenêtres, les escaliers, les parquets, l’isolation des maisons (double-vitrage et toiture).

Plomberie – Couverture – Chauffage

M. Aumasson Raymond a repris en 1962 l’entreprise de M. Castille Roger. Depuis 1980, il exerce avec son fils Jean-François dans la plomberie, le sanitaire, le chauffage et la couverture. Au magasin, vente d’articles de pêche, électroménager et dépôt de gaz.

M. Marchadier Pierre s’est installé à Boismandé en février 1977 pour : le chauffage central au mazout, bois et gaz ; la plomberie, le sanitaire, le service après-vente et le dépannage.

M. Philippon Bernard est en association avec son beau-père M. Jouanny Fernand depuis février 1978 pour la couverture, la zinguerie, le chauffage et le sanitaire. Ils ont un employé.

Mécaniciens – Tôliers – Charrons

M. Drochon Marcel a créé l’ouverture d’un garage en 1946 le 17 février avec réparations, ventes, cycles et véhicules automobiles. Ils ont une station essence Avia. Ils occupent 7 employés et reçoivent des stagiaires des écoles au garage et au secrétariat.

M. Martin Gérard a ouvert le 1er mai 1966 un garage qui avait auparavant été tenu par M. Auvray qui avait lui-même succédé à M. Morgat. Lors de sa création ce garage avait été spécialisé dans la réparation de diligences et des machines à vapeur.
En novembre 1972, Monsieur Martin effectue un transfert de locaux avec agrandissement et aménagement. Le garage s’est spécialisé dans la vente de véhicules neufs et occasion, la réparation de toutes marques automobiles, la tôlerie, la peinture, l’électricité. Il offre en outre un équipement loisirs jardinage avec la vente et l’entretien de tondeuses, débroussailleuses, tronçonneuses, mini-tracteurs, tondeuses autoportées. Une vente d’huile et carburants est aussi proposée à la clientèle.

M. Maury Gaston a ouvert un garage aux Grands-Chézeaux vers 1935. En 1956, il s’installe à Saint-Sulpice-les-Feuilles. En 1970, son fils M. Maury Georges prend sa succession avec deux employés à l’atelier et une secrétaire. Il assure l’entretien et la vente de véhicules neufs et occasion, de quelques tracteurs et la vente des carburants (essence et huiles).

M. Marsaud Jean s’est mis à son compte en 1960, reprenant derrière M. Charron. Il est carrossier, tôlier avec un employé et depuis 1972, il travaille dans un nouveau local.

Coiffeurs

Mme Bertin Claudette tient depuis 1980 un salon de coiffures dames, après le départ de Mme Chimbaud. Elle emploie une apprentie.

Mme Brochet Isabelle a créé un salon de coiffures dames le 5 avril 1983. Elle travaille avec une employée à temps partiel.

M. Lagny Michel a repris le salon de coiffures hommes, à la suite de M. Brunet Charles, le 1 el. janvier 1975. M. Brunet et son prédécesseur M. Morel avaient un salon de coiffure mixte.

M. Ligneau Jacky a repris en septembre 1977 le salon de coiffures hommes tenu par M. Frachet qui l’avait créé.

Santé – Sécurité

Gendarmerie

La Brigade de Saint-Sulpice-les-Feuilles se compose de personnel et de matériel. Le personnel a un effectif actuel de 7 militaires…
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Les Pompiers de Saint-Sulpice-les-Feuilles

Saint-Sulpice-les-Feuilles possède un centre de secours qui travaille souvent avec les centres d’intervention d’Arnac et de Lussac. Actuellement 21 pompiers bénévoles sont dirigés par le Lieutenant Aumasson qui est Chef de Corps depuis 1972, et pompier depuis l’âge de 22 ans. Le Dr. Monnerie Michel est Médecin Capitaine. A partir de 1970 à l’emplacement de l’ancienne salle des fêtes une nouvelle caserne a été aménagée pour les pompiers.
Sous le 1er mandat de M. Letourneur Mlle Appay Marie et M. Marzet Pierre furent respectivement marraine et parrain du nouveau matériel. Mlle Paty Gisèle et M. Vignaud Fernand ont à leur tour parrainé un matériel récent.
Actuellement les pompiers disposent du matériel suivant :
– 1 F.P.T. : fourgon, pompe, tonne acquis en 1967
– 1 C.I.D. : camionnette d’interventions diverses et un V.A.A.B., voiture de secours aux asphyxiés et blessés depuis 1980
– 1 F.I.N. : fourgon acquis en 1974
– 1 V.L. : voiture légère type 4L
– 1 M.R.P. : moto pompe de 60 m3, et une autre de 30 m’.
Les pompiers sont toujours dévoués et au service de la population.

Le dispensaire d’Hygiène sociale

Il fut inauguré en 1955 en présence de Mlle Appay Marie adjointe au maire (M. Letourneur Maxime) et les Docteurs Maillasson et Larue. Deux demi-journées par semaine, l’assistante sociale assure une permanence au dispensaire, aussi utilisé pour les visites médicales, scolaires, les visites d’hygiène mentale deux fois par an, le don du sang, la médecine du travail et les vaccinations obligatoires en général.

Le Foyer des Anciens

La maison de retraite a été inaugurée en 1978. Elle a été aménagée dans l’ancienne gendarmerie. Elle comprend des chambres individuelles, un réfectoire pour les repas pris en commun, des logements pour couples qui souhaitent vivre indépendamment.

Carrières médicales et paramédicales

Mme Bessuges est assistante sociale.

M. Gaulier Jean a repris le cabinet de dentiste à la suite de M. Sauze en 1951. De 1953 à 1970 M. Gaulier exercera aussi à Arnac.

M. Mary Daniel s’est installé en août 1973 comblant le « vide » laissé à la suite du décès de M. Larue, non remplacé. Si M. Mary a consulté chez Mlle Maillasson; il n’a jamais eu de contrat d’association avec cette dernière. Il a eu un contrat d’essai d’un an avec le Dr. Langevin mais celui-ci a rompu le contrat avant l’expiration du délai. Actuellement il existe une entente de tour de garde avec le Dr Monnerie : un week-end sur deux et un jour par semaine chacun.

M. Monnerie Michel a ouvert son cabinet le 13 avril 1981. Il est aussi le Médecin Capitaine des Pompiers de Saint-Sulpice-les-Feuilles depuis mai 1981. Médecin généraliste, le Dr. Monnerie pratique certaines médecines douces, surtout la mésothérapie. Il est attaché au C.H.U. de Limoges au service de rhumatologie, rééducation fonctionnelle du Professeur Labrousse.

Mmes Picard et Michelet ont un cabinet d’infirmières à Saint-Sulpice.

M. Gilbert Alain a ouvert un cabinet de masseur-kinésithérapeute le 1er avril 1981. Il travaille au cabinet mais aussi à domicile. Depuis le ler mai 1985 il s’est associé avec M. Couthier.

M. Chazeirat Jean-Pierre a ouvert un cabinet de masseur-kinésithérapeute en 1972. Il travaille avec deux associés M. Gogue et M. Olivan.
Au début de son installation il faisait beaucoup de rhumatologie et actuellement il existe une extension en kinésie chez les jeunes, les déficients respiratoires et les cardiaques.

M. Drochon Marcel est ambulancier depuis de longues années à Saint-Sulpice-les-Feuilles.

Appel 2000 Ambulance Le Mazier. M. et Mme Paillier sont installés depuis juin 1985 avec une ambulance et un taxi-médical. Leurs transports sont agréés et conventionnés par les Caisses d’Assurance.

M. le Docteur Vétérinaire Bossard André
M. Bossard André Yves est né le 30.01.1929 à Rosnen (Finistère). Il a suivi des études à l’École Nationale Vétérinaire d’Alfort (1949-1953). 11 obtient sa thèse de Doctorat vétérinaire en janvier 1955 à la Faculté de Médecine de Paris.
En 1954, au début de l’été, la municipalité de Saint-Sulpice-les-Feuilles (Monsieur Maxime Letourneur étant maire), ému de la mort de deux vaches dans la commune « par suite de l’intervention trop tardive du vétérinaire », fait paraître dans la presse départementale un article demandant l’installation d’un vétérinaire dans le canton. A cette date, le Dr. Gatet, installé depuis 1946 à Lussac-les-Églises, le Dr. Rollinger à Saint-Sornin-Leulac, ainsi que les confrères de l’Indre (Lignac, Chaillac, Saint-Benoît-du-Sault) et de la Creuse (Azérables, La Souterraine), se partageaient le territoire.
Faisant mon service militaire au Camp de la Courtine, et ayant lu cet article, j’ai, après une enquête discrète à Saint-Sulpice et aux alentours, pris contact avec M. Letourneur qui m’a promis de me trou-ver un logement. Fin septembre 1954, j’emménage donc avec mon épouse dans 4 petites pièces louées par M. Charron, route des Grands Chézeaux.
Le mercredi 13 octobre 1954, j’ouvre officiellement un Cabinet Vétérinaire. Progressivement et très régulièrement, les appels se font plus nombreux, le rayon d’action s’étend.
En juin 1955, la maison Gabiat, route de Mailhac sur Benaize se trouvant disponible par suite du départ des locataires, nous quittons le logement Charron, un peu exigu, pour cette vieille maison construite en 1875, entourée d’un jardin, mais convenant parfaitement à l’exercice de la profession vétérinaire.
En mai 1956, je suis, avec d’autres réservistes, rappelé en Algérie, où je suis affecté à la Compagnie Méhariste du Grand Erg Oriental, basé à El-Oued, dans le Sud Constantinois.
Je retrouve en novembre la clientèle que j’avais dû abandonner et je continue, toujours assisté de mon épouse, à augmenter mes activités sur- Saint-Sulpice et les communes voisines.
Début 1960, j’achète la maison Gabiat et effectue quelques travaux et transformations pour l’adapter plus parfaitement à ma profession et la moderniser. En 1959, en raison de l’augmentation de la clientèle. j’avais installé un radiotéléphone sur ma 2 cv.
En 1968, je prends comme assistant le Docteur Vétérinaire Marduel, avec lequel je m’associe en 1970. M. Marduel quitte Saint-Sulpice en 1977, je continue à exercer avec l’aide du Dr. Kourouma d’abord, puis du Dr. Duquesnoy.
En 1979, le Dr. Gillet vient me seconder et je m’associe avec lui en 1981.

Évolution de la profession vétérinaire depuis 1954
L’évolution de la profession vétérinaire depuis 1954 est liée à l’évolution de l’agriculture, de l’élevage plus exactement, dans la région…
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Pharmacie Lévy-Charron
Mme Lévy-Charron Raymonde a repris la pharmacie de Saint-Sulpice-les-Feuilles en 1977 à la suite du décès de Mme Martin-Delage Madeleine qui avait succédé à M. Matignon.
M. Pennetier Roland a travaillé à la pharmacie en qualité de préparateur jusqu’à son décès en novembre 1983. Depuis son apprentissage, il a toujours exercé à la pharmacie de Saint-Sulpice-les-Feuilles, ayant l’estime de tous.
Actuellement, Mme Lévy-Charron emploie un pharmacien, Mme Gillet, 3 jeunes femmes ayant leur brevet professionnel de préparateur en pharmacie.
Mme Lévy-Charron note que le rôle du pharmacien a évolué, il n’est plus le conseiller de jadis, mais davantage celui qui délivre les médicaments en fonction des prescriptions médicales sur ordonnances. Les préparations de médicament en officine ont pratiquement disparu. Le pharmacien est de plus en plus « un bureaucrate » avec.la généralisation des remboursements par mutuelles. Il est aussi gestionnaire pour l’approvisionnement des produits pharmaceutiques, qui nécessitent quatre appels téléphoniques par jour, permettant deux livraisons quotidiennes, le matin et l’après-midi.