Si l’administration sous l’ancien régime est assez connue dans ses grandes lignes, il n’en est pas de même en ce qui concerne les détails et son organisation dans nos bourgs : les documents à consulter sont en général assez rares, … Lire la suite
Archives pour la catégorie 1ère Monographie
Au moyen-âge, notre pays comprend quatre châtellenies : la Terre-aux-Feuilles, Lussac-les-Eglises, le Fief Lussazois et Arnac-la-Poste. – La châtellenie de la Terre-aux-Feuilles, « très notable et de grande estendue », était dans la vicomté de Brosses, qui elle-même relevait de Poitiers. … Lire la suite
A part les bénéfices donnés par l’émigration, les ressources du canton sont essentiellement agricoles et la majeure partie de la fortune publique est immobilière : les rentes sur l’Etat, les valeurs de bourse sont peu employées comme placements ; les … Lire la suite
La diversité des poids et des mesures apportait autrefois une grande entrave au commerce : chaque seigneur possédait son système qui n’avait aucun rapport avec ceux de ses voisins, aussi dans les transactions était-il toujours nécessaire de spécifier le système … Lire la suite
Sous l’ancien régime, Arnac, Lussac et les Chézeaux avaient seuls des foires et marchés. Lussac en avait primitivement quatre, mais à la suite des guerres de religion qui ruinèrent le pays, elles furent abandonnées. Par lettres patentes de 1609*, Henri … Lire la suite
L’émigration* en Limousin et en Marche est d’origine fort ancienne : « Au moyen âge, dit M. Leroux, le travail industriel et agricole était rare en Limousin et ne retenait aux champs qu’une faible partie de la population. Le reste … Lire la suite
En dehors des nombreux moulins « à pied » ou « à sault », qui encombraient le cours des ruisseaux, l’industrie était fort peu développée. On trouve des moulins à drap – aux Grands-Moulins (1410) – à Montbrugnaud (1454), – … Lire la suite
En dehors de l’émigration, dont nous parlons plus loin, les ressources du canton sont essentiellement agricoles. Il n’y a pas cinquante ans, l’agriculture n’avait fait aucun progrès et ses procédés étaient des plus primitifs : un sol médiocre; des chemins … Lire la suite
L’instruction, le séjour à la caserne, enfin l’émigration ont rendu assez rare l’usage du patois ; ce langage local, qui diffère totalement du patois limousin, et paraît se rapprocher du parler berrichon ou marchois, ne tardera pas à disparaître, aussi … Lire la suite
Dans le cadre que nous venons de décrire s’agite une population qui, d’après le dernier recensement, est de 9733 habitants ce qui, par kilomètre carré, donne 42,13 : chiffre inférieur à celui du département qui est de 69. La population spécifique … Lire la suite