A 1 km au nord-est du chef-lieu de la commune de Saint-Georges-les-Landes, à droite du chemin allant de ce bourg au village de la Ménardière, immédiatement après avoir passé le petit ruisseau de la Pigeonnière, et à 300 m dudit … Lire la suite
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Sur le coteau de Mont-Lambert, qui borde la rivière de Benaize, presque en face le château de Lacroux, qui est sur l’autre rive, est un rocher sur lequel s’élève une éminence qui porte dans le pays le nom de Châtelas. … Lire la suite
Sur la rive gauche de la rivière Benaize, au bas du village de Lavaud, on voit dans un enfoncement formé par le coteau une masse de tuiles romaines à rebords, mélangées de terre et de pierres. A cet amas aboutit … Lire la suite
Du chemin qui va de la Souterraine à Magnac, en face le village de Martineix, on voit sur la droite une élévation longitudinale plantée de petits chênes. Cette élévation porte dans le pays le nom de « Camp de Jules-César ». Lorsqu’on … Lire la suite
L’entrée accidentelle qui se fit à ce souterrain, il y a plusieurs années, permet de descendre à 1,60 m de profondeur et d’entrer dans un passage d’environ 6 m de long, haut de 1,30 m et d’un peu moins de … Lire la suite
De l’autre côté de la rivière de Benaize, mais un peu plus à l’est, sur le haut du coteau, on voit le hameau de la Griminière, dont les habitants voulant, en 1816, faire un chemin praticable pour descendre à la … Lire la suite
À l’extrémité du village de Monbon, derrière la maison du sieur Redon, est un petit jardin fort en pente, comme suspendu sur le rocher escarpé qui domine le moulin et la rivière de Benaize. Dans ce petit jardin et tout … Lire la suite
De l’autre côté de la petite vallée et de la prairie, au nord, en face et à environ 300 m du château de la Goutte-Bernard, dans le coteau dit « la Garenne », autrefois couvert de bois, mais aujourd’hui cultivé, … Lire la suite
Dans le jardin de la métairie de Ladam, appartenant à M. Delauzon, à peu près vers le milieu ; se trouvait autrefois l’entrée d’un souterrain qui, chaque année, se comblait un peu par les exfoliations du schiste, et qui a … Lire la suite
Vers 1826, le nommé Aubrun, au village de Bannes, voulant asseoir les fondements d’une maison sur une roche schisteuse qui est à nu, trouva celle-ci creusée d’un fossé profond rempli de pierres, de terre et d’eau, qui l’empêcha de la … Lire la suite